Interpellation citoyenne : les questions des Libournais(e)s et les réponses des élu(e)s

Retrouvez sur cette page l’intégralité des sujets d’interpellation triées par date.
Les réponses apportées par les élu(e)s aux interpellations posées en conseil municipal sont retranscrites dans le compte-rendu conseil municipal en question. Les débats seront bientôt disponibles en vidéo.
Les interpellations non posées devant le conseil municipal du mois de la date d’interpellation bénéficient d’une réponse du groupe de la majorité et de l’opposition consultable sur cette page dans les 15 jours suivant la date du conseil municipal.

Chers Élus,
Tout d'abord bonsoir et merci pour ce beau travail entrepris depuis plusieurs années pour la revitalisation et le développement de notre beau territoire.
J'habite Libourne et en tant que conseillé de quartier Nord-Est, je vous écris pour vous transmettre plusieurs observations partagées par de nombreux habitants de mon quartier.
Je vais aller droit au but : plusieurs avenues desservant la gare et l'entrée de la ville côté Est dont la rue de la Marne et l'Avenue de l'Epinette sont particulièrement mal aménagés pour la sécurité des piétons et des cyclistes. Les voitures et les bus roulent trop vite faute d'aménagements pour freiner leur vitesse de circulation, et les passages piétons sont souvent mal placés et pas assez sécurisés; quant aux pistes cyclables elles manquent cruellement.
Nous vous demandons si dans le cadre du PEM, des travaux pour repenser ces axes très fréquentés seront réalisées pour assurer la sécurité des usagers qui se déplacent à pied ou à vélo ?
Nous constatons que de nombreuses familles les empruntent ainsi que de nombreux salariés de l'hôpital venant en train depuis Bordeaux.
Vu le nombre de voyageurs transitant par la gare et le nombre de personnes entrant dans la ville depuis la rue de la Marne et la route de l'Épinette, il pourrait peut-être être pertinent de requalifier ces axes ? Cela donnerait une tout autre image de notre si belle ville.
Vous remerciant pour votre écoute, je reste à votre disposition pour vous montrer les différents points de danger identifiés sur le terrain et sur lesquels des aménagements nous semblent importants.
Bien cordialement,

STADE DE RUGBY LIBOURNE PLINCE
Le stade de rugby de Plince a été fermé pas moins de 5 semaines depuis le début de cette saison 2023-2024. Ces fermetures faisant suite aux intempéries .
Le club du RCL s'est adapté à chaque fois, des entraînement ont au lieu à CONDAT sur béton, des visionnages au club house cependant de nombreux entrainements ont du être annulés n'ayant pas de terrains de substitution proposés.
Le samedi 20 janvier, le stade de Plince a été fermé, et le stade Clémenceau proposé. Une fois sur place, à 9h, l'heure du début d'entraînement, l'équipe s'est vu refusé l'accès pour cause de terrain gelé et risque d'abîmer le gazon.
Donc s'il pleut, s'il gèle, s'il y a risque d'abîmer le gazon, l'accès du seul terrain de rugby ou des éventuels terrains de substituions est refusé. Le rugby est un sport de plein air qui se joue sur gazon . Les enfants et le club sont totalement investis dans ce sport , font l'effort d'assurer les entraînements et d'y participer malgré les intempéries.
Quelle déception de se voir interdir la pratique de son sport pour des raisons techniques de protection de gazon. Je comprends tout à fait que l'entretien et le maintien des infrastructures sportives représente un coût et une travail quotidien de la municipalité. Cependant ne pouvez vous pas trouver une solution afin que le rugby, puisse avoir les moyens de jouer sur du gazon ?
Comment se fait-il que le club de rugby de Libourne n'ai qu'un seul stade situé en dehors de Libourne, un club house décentré du stade ?
Le terrain "synthétique" de Kany ne peut il pas être proposé aux entrainements ? ou un des 4 autres stades de la ville, Libourne ville du sport , ville du passage de la flamme olympique, terrain d'entraînement international de l'aviron, ville du Tour de France , "TERRE DE JEUX" ?

Je vous remercie d'avance de l'attention que vous porterez à ce sujet.
Cordialement

Travaux Pont Beauséjour
Mr le Maire, pouvez-vous SVP d'une part nous donner des informations sur l'évolution des travaux et d'autre part sur les aménagements prévus en amont et en aval de celui-ci ? Une réunion de concertation est-elle prévue avec les riverains du quartier ?
Cordialement.

Bonjour,

Mon enfant prend parfois la trottinette pour se rendre au collège en centre ville. Les trottoirs avenue de l'Epinette sont très étroits, la circulation est souvent dense et rapide et le chemin est peu sûr pour les vélos et trottinettes. Est-il possible de réfléchir à une meilleure sécurisation sur cette route ?

Par ailleurs, il est compliqué de faire accepter le casque à mon enfant alors que très peu d'enfants (presque aucun) n'en porte devant le collège. Par peur des moqueries qu'il reçoit, il rechigne à le porter. Pourrait-on envisager des actions de prévention pour les élèves de collège devant les établissements scolaires ?

Bonjour,

J'aimerais savoir si une réflexion concernant le carrefour se situant rue pierre benoit et rue Toulouse Lautrec, avec un petit rond point dessiné pourrais être envisagée par la ville de Libourne ? Sachant que beaucoup d'automobilistes et même des services de la Mairie ne respectent pas du tout le rond point ainsi que la vitesse dans cette rue qui est limité à 30 km/h soi disant.

Je pense que la vitesse moyenne des voitures doit se trouver aux alentours des 50 km/h voire pour certains au dessus. Beaucoup d'entre eux ne ralentissent pas à l'endroit du rond-point. Serait-il possible que de temps en temps la vérification de la vitesse soit effectuée dans cette rue, car un accident grave pourrais arriver avec tous les enfants qui sortent des écoles maternelles, primaire et du collège. Espérant pouvoir être entendu sur ce phénomène de danger dans cette rue.

Bonjour

Suite à une demande formulée lors d’une réunion de quartier, une circulation des deux roues a été autorisée en 2022, à contresens rue de la belote avec une signalisation et une obligation de circulation limitée à 30 km/h pour les voitures. L’objectif étant de stopper la circulation des vélos et trottinettes sur le trottoir emprunté par de nombreux lycéens sur leur parcours depuis ou jusqu’à la gare.

Cependant, dès sa mise en place, force a été de constater que la rue de la belote était trop étroite pour supporter ce changement à partir de la solution choisie. J’en profite pour préciser que la chaussée est actuellement en très mauvais état et crée un danger supplémentaire lors des croisements vélo/voiture

Je souhaite donc faire la proposition suivante : Utiliser le trottoir côté voie ferrée pour élargir la chaussée ou même créer une véritable piste cyclable. Ce trottoir très étroit est aujourd’hui très peu emprunté par les piétons.

Une consultation des riverains peut s’avérer utile pour confirmer ce constat et cette nouvelle demande

Merci par avance de bien vouloir prendre en compte ce signalement

Alors que les travaux de reconstruction du pont Beauséjour ont débuté, nous sommes plusieurs riverains concernés et désireux de questionner les impacts de ce nouvel aménagement. En effet, l’élargissement des voies et leur accessibilité aux poids lourds nous fait craindre une intensification des flux de circulation et des vitesses, déjà excessives sur cet axe. Outre les nuisances directement associées (bruit, qualité de l’air, vibrations) nous redoutons une véritable perte de qualité de vie dans la rue et une détérioration de la sécurité routière. A l’heure où les villes se repensent pour rendre les mobilités actives et durables plus attractives et limiter l’usage de la voiture individuelle (coûteuse pour les habitants, coûteuse pour les collectivités qui entretiennent les routes et très émettrice en gaz à effet de serre), ce projet, de part les impacts qu'il induit, sonne comme anachronique.

Concrètement, est-il prévu un changement de classification de l’Avenue Georges Clémenceau à terme (classement en route départementale ou route à grande circulation) ? Si c'est le cas, pouvez vous préciser les impacts d'une telle évolution, notamment en terme de trafic
et de réalisation d'aménagements associés ?

Quelles mesures de limitation des vitesses sont prévues ou envisageables pour accompagner ce projet et minimiser les nuisances le long des avenues Georges Clémenceau et de l'Europe : mise en place de radars pédagogiques ? aménagement de ralentisseurs ? pertinence
du feu tricolore ? continuité des pistes cyclables ?

Quels outils de concertation et de participation citoyenne peuvent être mis en place pour travailler ces questions : réunions régulières, enquête auprès des habitants ?

Merci pour vos retours

Bonjour,

la mise en place d'extinction de l'éclairage public depuis le 1er octobre de 1 heure à 5 heures du matin. Les libournais n'ont pas eu de retour sur les économies faites par la ville suite à cette action énergétique.

Pourrions-nous avoir des chiffres s'il vous plaît ?


Cordialement,

Bonjour.
Problème de stationnement dans le chemin de carré :
Comment résoudre ce problème ça dure depuis des années et on ne fait rien !
Il faudrait peut-être sévir et mettre les voitures concernées en fourrière ras-le-bol les voitures ne
peuvent même pas se croiser gros problème de circulation.

Bonjour, où en sommes nous par rapport au Smicval concernant le non passage porte à porte des ordures ménagères ?

LES DEBOIRES FINANCIERS DE M. OHAYON - CAMAIEUX, GO SPORT - N'ONT-ILS PAS UN IMPACT SUR LA CAPACITE DE CE MONSIEUR A SE CONCENTRER SUR UN PROJET, SOMME TOUTE SECONDAIRE, DE RENOVATION DES CASERNES.
CES RETARDS SUCCESSIFS SONT DOMMAGEABLES POUR L'AVENIR DE NOTRE COMMUNE.
NE VAUDRAIT-IL PAS MIEUX ETRE PLUS MODESTE ET REALISER UN INVESTISSEMENT MUNICIPAL DANS LE MANEGE;
LES BATIMENTS POURRAIENT ETRE TRANSFORMES EN APPARTEMENTS, LOGEMENTS D'ETUDIANTS ET/OU DU CO-WORKING.
IL EST IMPORTANT DE RESTER MODESTE ET NE PAS ETRE OTAGE D'UN SEUL INTERLOCUTEUR

Bonjour.
Mr le maire Philippe BUISSON n'a pas su protéger les riverains de LA RESIDENCE DU STADE en autorisant et signant le permis de construire de la future caserne de gendarmerie qui induira directement un trouble du voisinage par vues directes et plongeantes depuis 3 étages et 11 fenêtres sur l'intimité des jardins et salons du N°7 ET 8 RESIDENCE DU STADE et obligera une mise en demeure auprès de GIRONDE HABITAT pour rectifier cette erreur qui n'a pas troublée ni interpellée les acteurs de ce projet mal implanté. Une étude d'impact du trafic futur sur cette voie d'accès (85 logements, 100 véhicules privés prévisibles) située dans une impasse non prévue pour ce flux de véhicules est elle envisagée ?
Merci pour votre réponse

Monsieur le Maire, Mesdames et Messieurs les élus,

À l'instar d'autres interpellations citoyennes, je souhaite également porter l'attention tout d'abord sur la problématique des flux de circulation dans Libourne avec une attention particulière pour les cyclistes. Dans le projet de Libourne 2030, est ce qu'il est prévu de faire un bond qualitatif sur les aménagements c'est à dire qu'ils soient suffisamment sécurisés pour permettre y compris à des familles avec de jeunes enfants de se déplacer facilement ? Pour être concret, va t-on arrêter de partager les trottoirs avec les piétons (avenue de la Roudet, avenue de Verdun en partie par exemple) d'avoir des intersections impraticables pour les cyclistes comme sur les années Tourny, autrement qu'en empruntant les passages piétons ? Va t-on aménager des axes secondaires comme la route de Saint-Emilion ou l'avenue de l'Epinette etc. Et plus, globalement peut-on envisager d'avoir une politique globale en la matière ? La ville de Libourne a accueilli le Tour de France récemment, elle ambitionne de le faire à nouveau, elle a un label ville sportive mais la voiture est omniprésente... À l'échelle de la Cali et plus particulièrement des communes limitrophes, il serait intéressant d'avoir également la même approche afin de diminuer les flux automobiles sur petites distances car la moitié des trajets quotidiens font moins de cinq kilomètres. Les "vélotafeurs" ne sont pas une espèce visible uniquement dans les grandes villes. Les villes moyennes et leur agglomération ont aussi une carte à jouer !
Ma deuxième interpellation porte sur les cours d'école : va t-on en faire des "oasis" de fraîcheur pour nos enfants mais aussi en cas de canicule, pour l'ensemble de la population ? Et quant à l'avenue général de Gaulle et à l'avenue Verdun, peut on envisager d'en faire une coulée verte en plantant des arbres en son centre (ce qui sous-entend un réaménagement des voies de circulation) pour en faire un axe de vie mais pas seulement une sorte de "voie express" pour entrer et sortir de Libourne ?

Merci de votre attention.
Bien cordialement,

Guillaume Boulay

Bonjour Monsieur le Maire,


J'emprunte quotidiennement la D670 (av du Général de Gaulle) pour accéder à la D1089 en direction de Bordeaux. L'accès à la D1089 depuis l'Av du Général de Gaulle se fait par un giratoire régulièrement congestionné. Est-il prévu de créer une bretelle (ou un shunt) afin d'éviter le giratoire et de fluidifier le trafic à cet endroit ?


Sincères salutations. 

Bonjour à Monsieur le Maire et au conseil municipal.

Je vous contacte au sujet de la circulation de la Marne. J'habite dans cette rue depuis 4 ans. Il ne se passe pas une semaine sans que les voitures qui y stationnent ne soient pas accidentées (rétroviseurs, portière...). Il y a déjà eu plusieurs accidents... Le traffic est dense bus de la Cali, cars, ambulances... Étroitesse de la rue et la vitesse excessive de certains véhicules n arrange en rien la situation.
La circulation de cette rue est à double sens avec un côté de stationnement un virage dangereux au niveau du numéro 40 de cette rue. Les voitures roulent trop souvent sans respecter les 50km/h. De plus il y a deux passages piétons qui ne possèdent pas de panneaux de signalisation. Il y a un club de Danse Amalgame avec de nombreux enfants et j'ai moi meme 3 enfants et je ne suis pas rassurer pour y traverser sereinement : la circulation rend la rue dangereuse même pour un piétons sur le trottoir très étroit sur certains passages.
Pouvez vous étudier la possibilité de réduire la vitesse de circulation à 30 km/h ou de placer des dos d'ânes avant et apres ce virage sans visibilité ou bien même d installer 2 panneaux de signalisation pour les 2 passages piétons des numéros 36 et 58 de la rue.
Merci de l'attention que vous voudrez bien porter à ma demande

Le positionnement de M. le Maire en matière de sécurité est qu'il s'agit là d'une mission régalienne qui incombe avant tout à l'État et en signant ce contrat de sécurité intégrée, M. le Maire permet à la ville de Libourne de renforcer ses moyens en la matière, en moyens humains, en moyens matériels.

Les grands projets qui sont à l'étude, notamment le projet OHAYON ne pourront se mettre en place que dans une ville sereine en matière de sécurité.

Néanmoins, les libournais ont à coeur de participer à rendre leur ville propre et sécurisée. Ils constatent régulièrement des incivilités, des effractions, des tentatives de cambriolage ou autres faits répréhensibles qui gâchent la vie de tous mais qui ne sont pas répercutés auprès des autorités par peur, ou manque de temps ou autres raisons.

J'ai récemment croisé une personne agée qui me disait qu'elle était sortie de chez elle pour faire ses courses mais voyant certains individus gesticulant dans la rue elle était rentrée chez elle par peur. Ce sont souvent des personnes vulnérables qui sont victimes, et ces personnes là ne prennent que rarement la parole pour exprimer ce qui les perturbe au quotidien.

Il est nécessaire d'avoir des personnes référentes sur le terrain pour faire remonter à qui de droit les faits de cette nature et matérialiser de façon concrète ce qui trouble l'ordre public.

M. le Maire envisage-t-il une participation citoyenne en matière de sécurité à Libourne ?

Je souhaite attirer l’attention des élu(e)s sur l’importance, la dangerosité et l’incommodité de la circulation routière au sein de la rue du Président Carnot. Tous les jours, nous, habitant(e)s de la rue nous sommes les témoins, impuissant, du même manège : des voitures, des camions, des motos, des bouchons, des klaxons, des coups de freins et des bruits assourdissants d’accélération ou d’autoradio (de jour comme de nuit). Le nom de « boulevard du Président Carnot » serait plus adéquat.

L’omniprésence de la voiture au sein de cette rue n’est pas due aux résidents, ni à des potentiels usagers de la ville. L’importance de la circulation est due à la possibilité qui est donnée aux automobilistes d’emprunter cette voie, pour traverser le plus rapidement possible la bastide de part en part en empruntant un axe allant du rond-point de la Place Maréchal de Lattre de Tissigny au rond-point de la place Jean Moulin en passant par la rue Jules Ferry, la rue des Chais et la rue du Président Carnot. Cette route, permettant d’éviter des chemins plus longs, est empruntée quotidiennement et abondamment comme un raccourci. Les travaux place Joffre et place René Princeteau ont certainement accentué ce phénomène, mais l’importance de la circulation au sein de cette rue n’est pas nouvelle.

L’étroitesse de la rue du Président Carnot et la hauteur de ses bâtiments créent une véritable caisse de résonnance. Sa rectitude fait que beaucoup la considèrent comme une piste de circuit automobile et roulent à des vitesses impressionnantes.  À l’arrivée des beaux jours, la rue est baignée de soleil et elle se transforme rapidement en véritable îlots de chaleur. Ces éléments rendent la vie au sein des logements donnant sur la rue difficile mais aussi dangereuse pour la santé des habitants (pollution atmosphérique, bruit, vibration et tremblement des habitations…). Cela ne touche pas seulement les résidents mais aussi les personnes qui y travaillent et celles qui s’y promènent, en particulier avec des enfants. Le conservatoire de musique et l’école municipale d’arts plastiques sont situés à proximité. Est-ce, aujourd’hui, encore tolérable d’avoir une telle circulation automobile dans un quartier qui se veut à la fois central, touristique et résidentiel (problématique qui se pose dans les mêmes termes concernant la rue des Chais) ?

Dans un contexte d’écologisation croissante de la société, serait-il envisageable, d’aller plus loin que le passage de la bastide en zone à 30, et de limiter fortement la circulation, au sein d’un espace urbain majoritairement résidentiel, en coupant cet axe routier qui traverse la ville d’un bout à l’autre (par exemple inverser les sens de circulation de la rue des Chais et de la rue du Président Carnot, placer une borne à l’entrée de la rue des Chais interdisant l’accès aux non-résidents…) ? Un gain majeur en termes de qualité de vie et de sécurité pour les habitants et usagers de la rue du Président Carnot (mais aussi de la rue des Chais) résulterait de la mise en place de cette mesure.

Vous remerciant pour l'attention que vous porterez à ce message,

Bien cordialement

Comment est-il possible que les maires des communes de Libourne et Saint-Émilion ne lancent pas la création d' une piste cyclable sécurisée entre ces 2 villes compte tenu d'une part de la dangerosité des 2 routes reliant ces 2 communes et d'autre part de la dynamique très forte évidente que cela pourrait créer pour les habitants et pour le tourisme.Cet aménagement permettrait de plus et enfin de poser une piste cyclable sécurisée sur la route de Saint-Émilion de Libourne : du parc de l'Épinette jusqu'à la rocade.

Eric Le Corre, conseiller quartier de la ville de Libourne

Questions - Conseil municipal du 16 mars 2021

Interpellation citoyenne 16 mars 2021

Questions & réponses - Conseil municipal du 19 novembre 2020

Interpellation citoyenne 19 novembre 2020

Dispositif EILE - Portugais

  1. La commune est-elle d'accord pour mettre à disposition un local scolaire dans le cadre de l'enseignement du programme "EILE" en Portugais ?
    Ce programme d'Enseignement International de Langues Etrangères, faculatif et gratuit, concerne le cycle élémentaire. Il est encadré par les inspecteurs de l'Education Nationale et ouvert à tous les volontaires, indépendament de l'origine portugaise ou pas.
  2. Ce programme manque de notoriété auprès des parents d'élèves : comment peut-on faire passer l'information ?
  3. Est-il possible de centraliser les demandes des parents des communes voisines également dans le but d'ouvrir une classe ?

Pour rappel, en cette rentrée 2020/2021, il y a 440 écoles en France qui accueillent un professeur de portugais EILE. Sur les 19 communes en Gironde concernées, 14 ont moins d'habitants que Libourne.
Sur le territoire des 45 communes de la CALI, seule la commune de Vayres accueille un cours de portugais... Sur un total d'environ 90 000 habitants de La Cali, il doit bien y avoir 10 familles intéressées, si l'information circule bien ?

Merci pour votre attention.

Je souhaiterais attirer l'attention des élus sur la dangerosité concernant la circulation des piétons sur les allées centrales du Cours Tourny, qui font à la fois fonction de parking et d'allées piétonnes.

Si la vitesse de circulation et le risque pour les piétons ont été réduits depuis l'abandon des doubles voies sur la chaussée (dans le sens de la montée depuis l'ESOG), ce risque s'est reporté sur l'espace central piéton, notamment du fait du sens unique de circulation des véhicules sur le parking (auparavant le double sens de circulation sur l'allée centrale pouvait être gênant pour le stationnement mais cela ralentissait également les voitures).

J'ai constaté à plusieurs reprises que ces allées sont empruntées par des véhicules circulant à vive allure (parfois jusqu'à 50/60 km/h !), depuis l'entrée du parking (au niveau du restaurant "Ripiano") jusqu'à la sortie au niveau du feu rouge en haut des allées (situé au croisement avec la rue des Treilles).

Au niveau du passage piéton devant la gendarmerie, les voitures qui empruntent et remontent l'allée centrale prennent de la vitesse et n'ont pas ou peu de visibilité en raison des véhicules stationnés sur les côtés. Je réside à proximité des allées et mes enfants (10/12 ans) ont failli se faire renverser à deux reprises en arrivant sur l'allée centrale (j'imagine donc que cela a dû se produire pour d'autres personnes).

La circulation de ces véhicules est d'autant plus dangereuse qu'elle intervient parfois aux heures d'entrée/sortie de l'école J.J. ROUSSEAU, alors que les enfants arrivent le matin ou rentrent chez eux à pied ou en trottinette par l'allée centrale (plus spacieuse que les trottoirs).

Serait-il envisageable de renforcer la signalisation (limitation de vitesse, présence d'école), de prévoir des ralentisseurs, des contrôles radars ou de même modifier le plan de circulation (en divisant le parking en plusieurs parties pour limiter la prise de vitesse ?).

Vous remerciant par avance pour l'attention que vous porterez à ce message,
Cordialement.

Bonjour,

Dans le but de préserver l'intégrité nocturne (diminuer la pollution lumineuse et préserver la faune nocturne), serait-il possible d'éteindre totalement les lampadaires entre 23h et 6h ?
Cela permettrait d'importantes économies d'énergie, ainsi que des économies budgétaires non négligeables.

Je sais que la ville de Libourne diminue l'intensité de l'éclairage public pendant la nuit, mais la lutte contre les nuisances lumineuses est un objectif des lois Grenelle 1 et 2, de la loi de transition énergétique (2015) et de la loi pour la reconquête de la biodiversité, la nature et les paysages (2016), qui permettent d'aller plus loin dans ce domaine.

Les études faites sur le sujet ont montré qu'éteindre les lampadaires n'avait pas d'effet sur l'insécurité (les chiffres du ministère de l'intérieur montrent que la majorité des cambriolages a lieu en journée) et que cela tendrait même à diminuer les infractions routières (les gens roulant moins vite quand la chaussée n'est pas éclairée).

De plus, les impacts positifs sont importants sur la biodiversité, ainsi que sur la santé et le sommeil humains, avec le rétablissement d'un vrai cycle jour/nuit.

De nombreuses villes ont déjà fait ce choix fort en matière de protection de l'environnement, et un label existe, porté par l'ANPCEN.
Enfin, en ces temps de confinement, l'éclairage public n'éclaire que les rues vides et représente donc un gaspillage de ressources important...

Je vous remercie par avance de l'attention que vous porterez à ma requête.
Cordialement.

Questions & réponses - Conseil municipal du 21 septembre 2020

 

Je me permet d'intervenir, car je trouve que les forces d'intervention sont loin du centre-ville. À plusieurs reprises, les forces de l'ordre sont intervenues rapidement mais elles pourraient peut-être avoir un bureau "annexe" situé Place Abel Surchamp afin d'être au coeur de la bastide, directement sur place.

Monsieur le Maire, étant commerçant proche de la mairie, nous devons voir la même chose que sous les fenêtres de votre bureau de maire, le trafic de drogue, agression journalière, incivilité, aucune action n'est mise en place pour éviter cela aujourd'hui, pas de présence policière, aucune utilisation des caméras, dépôt sauvage des ordures etc... Que comptez-vous mettre enfin en place afin de permettre à Libourne de retrouver sa tranquilité et sécurité ? Ceci est-il une priorité pour vous ?

Philippe BUISSON, maire de Libourne confirme qu’en effet la sécurité est une priorité pour lui et qu’il comprend que ces questions soient posées. Il précise « qu’il n’a échappé à personne » qu’il y a en France une situation difficile en termes de sécurité avec un sentiment d’insécurité grandissant et « des flambées de violences » comme à Bordeaux ou dans certains villages environnants.
Il fait savoir que « Libourne a passé un été sans faire la une des faits divers ». Cela étant, il confirme qu’il y a à Libourne des incivilités et un sentiment d’insécurité qui stagne avec notamment sur le haut de la rue Gambetta et sur la Place Abel Surchamp, une vingtaine de personnes qui nuisent à la tranquillité de tous.
Il explique que la Ville agit beaucoup et ce conseil en a en parti, apporté témoignage, avec l’augmentation de la vidéo-protection. Aujourd’hui il y a des agents qui regardent la vidéo-protection jusqu’à 3H30 du matin sur les tablettes. C’est grâce à ceci, que la brigade de nuit est intervenue très rapidement il y a quelques jours sur une rixe.  Il rappelle que la police de nuit fait un travail « absolument considérable ».
Il confirme que la Ville a une bonne coordination avec la gendarmerie mais rappelle que la nuit, la Brigade de Nuit est souvent seule car la gendarmerie est sur d’autres zones.
Il estime que la gendarmerie « fait ce qu’elle peut avec les moyens qu’elle a mais ils sont nettement insuffisants ».
Il se réjouit de l’amende forfaitaire qui a été mise en place par le gouvernement pour le petit trafic de cannabis. Il demande « instamment à ce que le pouvoir de verbaliser soit également transféré à la police municipale ».
Il fait savoir que pour les ordures c’est compliqué de « vidéo-protéger » un site et lutter contre le dépôt car il faut pouvoir identifier formellement la personne pour pouvoir la verbaliser.
Il explique que les choses sont en train d’évoluer depuis quelques semaines pour favoriser «  la vidéo-verbalisation » des dépôts d’ordures. La Ville va acquérir un certain nombre de caméras nomades pour lutter contre ces dépôts.
Il annonce qu’il a assisté à une réunion il y a quelques jours avec Jean-Louis Arcaraz, le commandant de gendarmerie, le procureur dans le cadre du comité opérationnel.
Il fait savoir que les chiffres « sont bons sur Libourne » par rapport aux années précédentes, par rapport aux territoires qui entourent Libourne et aux tendances françaises même si « ce n’est pas suffisant » car une vingtaine de personnes sont des « fouteurs de troubles ».
Il rappelle que ça appartient aux élus, à la gendarmerie et à la justice, de les mettre hors d’état de nuire, en prenant les mesures les plus adaptées.
Il souhaite que les arrêtés  municipaux soient respectés en particulier celui portant sur  l’interdiction de la vente d’alcool à emporter après 20H.

Gonzague MALHERBE, conseiller municipal de l’opposition (Rassemblement National) estime que ce n’est pas parce qu’il y a ce problème d’insécurité dans d’autres grandes villes de France « qu’il faut se dire qu’il n’y a rien à faire ». Il rappelle « que ce problème d’insécurité ne date pas de hier ».
Il fait savoir « qu’il croit en Libourne » et fait référence aux mêmes propositions qu’il fait depuis la campagne de 2014 car « le constat est le même ».
Il rejoint les propos de Philippe Buisson sur la problématique des moyens qu’a la gendarmerie au regard de son territoire (sous-effectifs) et « qui ne peut pas être partout en même temps ».
Il estime que « face aux moyens de l’Etat et face aux carences de l’Etat en matière de sécurité » c’est à la Ville de prendre les moyens qui s’imposent à elle pour que la sécurité première des libertés, soit respectée au niveau de l’échelon communal». C’est pour cela, qu’il a déjà fait plusieurs propositions en la matière qui ont été entendues comme l’augmentation des forces de la police municipale.
Il pense « qu’en matière de vidéo-protection  il y a encore du travail à mener et notamment sur la création d’un centre de visionnage 24h/24 pour que les délinquants sachent qu’ils soient susceptibles d’être surveillés 24h/24 ».
Il pense qu’il faut que la police municipale soit armée et soit mieux équipée pour devenir « une véritable force d’intervention ».
Il propose qu’elle soit présente 24H/24 sur le terrain comme proposé à plusieurs reprises.
Il milite depuis 2014 pour la création d’une brigade canine pour lutter contre le trafic de drogues (en partenariat avec la police municipale et la brigade de gendarmerie ».
Il comprend « le ras le bol des riverains de constater que ce sont toujours les mêmes qui polluent le centre-ville».
Il conclut en disant qu’il y a des actions à mener et « qu’il faut les mener avec une véritable volonté en la matière ».

Christophe GIGOT, conseiller municipal de l’opposition rejoint les propos de Gonzague Malherbe sur les éléments indiqués donc il ne souhaite pas redire la quasi- -totalité de ce qu’il a pu dire.
Il précise que les incivilités même si « Libourne n’a pas fait la une des faits divers sont ce que nous vivons tous, c’est insupportable de dire que Libourne va bien car les Libournais sont importunés de manière récurrente  par les mêmes personnes et qu’il n’y a pas d’actions qui visent à supprimer ces désordres ».

Philippe BUISSON, maire de Libourne rappelle « qu’il ne minore pas le problème et qu’il comprend parfaitement les gens qui en ont marre ».
Il ajoute « qu’il y a des actions pour lutter contre ces incivilités avec notamment le plus grand système de vidéo-protection et la plus grosse police municipale après Bordeaux ».
Il précise que la majorité s’est engagée pour qu’il y ait sous ce mandat, un centre de supervision urbain 24H/24.
Il annonce que la gendarmerie va à terme déménager et qu’il ne restera en Ville que la police municipale.

Christophe GIGOT, conseiller municipal de l’opposition (Les Républicains) pense que la première chose à faire est de créer le centre de supervision urbain car il n’est pas simple d’utiliser les caméras sur les tablettes. Il précise qu’il est nécessaire d’avoir un ordre d’avancement dans les investissements cohérent.
Il est très étonné que ce centre de supervision ne soit pas intégré dans les demandes de subventions DSIL présentées dans cette séance.
 
Philippe BUISSON, maire de Libourne rappelle que la nuit il y a les tablettes et que les images sont transférées à la gendarmerie qui peut nuitamment voir l’ensemble et souhaite que ce centre soit dans les locaux de l’actuelle Brigade (échéance de 2 ans).

Jimmy LAVEAU demande si au vu du déménagement de la gendarmerie, il serait possible de faire comme en Allemagne, un bureau annexe dans le centre-ville pour que les forces de l’ordre (police municipale) soient au contact de la population.

Philippe BUISSON, maire de Libourne aimerait que ce soit la gendarmerie qui ait un bureau annexe en centre-ville et fait le souhait d’avoir cette discussion avec les services de l’Etat. Il estime que vu les moyens dont dispose la gendarmerie aujourd’hui, ça semble compliqué. Ce choix n’appartient pas ni au colonel  ni au Sous-Préfet d’en décider. Il comprend que la compagnie se rassemble mais regrette nuitamment, notamment, qu’il n’y ait plus de présence  « gendarmesque » dans le centre-ville.
 

Charles POUVREAU, conseiller municipal de l’opposition remercie les deux Libournais qui ont témoigné.
Il fait savoir « qu’il a une colère froide » sur ces sujets, « qu’il vit Libourne » comme Philippe Buisson  et que « la dynamique du désordre est insupportable ».
Il précise que la Ville est sale malgré les interventions et les efforts  du service technique.
Il estime que « le lien entre l’insalubrité de la Ville, les incivilités et l’insécurité est net ».
Il fait part de sa femme, qui « ne se sent pas en sécurité en ville dès 17H à la sortie des écoles sous les arcades, car elle se fait interpeller par des trainards, par des pochtrons, par des gens drogués aux médicaments  ou autre chose  et trouve que c’est insupportable ».
Il s’excuse des termes utilisés.
Il demande au conseil municipal d’avoir ensemble et globalement une vraie réflexion pour ceux qui habitent Libourne pour « qu’on arrête ça ».
Il estime que pour le trafic de drogue ce n’est pas simple (juste contraventions) mais pour que pour le reste il est nécessaire d’agir.
Il demande que soit « vraiment accéléré le déploiement de la vidéosurveillance pour favoriser la vidéo interpellation, la vidéo contravention ».
Il demande  que soit multipliée la présence de la police municipale et « notamment peut être la faire se mouvoir en vélo pour être plus actif » sur une situation donnée.
Il demande par ailleurs d’améliorer l’éclairage municipal car il estime que l’éclairage « fait beaucoup pour faire fuir la délinquance », puis peut être même s’il n’est pas trop favorable au sujet, d’avoir un débat avec les Libournais sur l’armement de la police municipale.
Il pense que « c’est un sujet où on peut interpeller les Libournais ».
Il se refuse à penser « que l’on ne peut rien faire, que c’est le national et que c’est pareil ailleurs».
Il souhaite que «son entourage vive sereinement à Libourne ».

Philippe BUISSON, maire de Libourne souhaite à Monsieur Pouvreau et à son entourage de vivre sereinement Libourne. Il souhaite que Monsieur Pouvreau « pendant 6 ans quitte sa posture et travaille avec les élus municipaux ».
Il précise à Monsieur Pouvreau qu’il n’a pas la parole.
Il rappelle que la police municipale est armée.
Il fait savoir que tous sont élus depuis 6 mois et qu’il ne l’a pas vu pendant cette période.
Il estime que les Libournais ont beaucoup vu Monsieur Pouvreau pendant la campagne mais que depuis 6 mois, on ne le voit plus.
Il estime que c’est l’un des rares (lui et son groupe) à ne pas avoir du tout participé, par exemple, à la distribution des masques. Il précise que « c’était surement un choix du vivre ensemble ou de Libourne ensemble ». Il précise que « c’était Libourne sans vous à cette période-là ».
Il ne souhaite pas que Monsieur Pouvreau « raconte des craques »  et lui demande de travailler ses dossiers.
Il rappelle que la police municipale est armée la nuit et armée la journée d’un taser.
Il estime que Monsieur Pouvreau « raconte des craques et que ça fait dix ans que ça dure ».
Il trouve cette situation « insupportable car ce sujet est sérieux ».
Il fait savoir qu’il est « en parfait désaccord avec la plupart des propositions de Monsieur Malherbe » mais « qu’il reconnait à Monsieur Malherbe de travailler ses sujets ». Rappelle qu’il n’est pas d’accord avec lui mais qu’il sait sur quoi il n’est pas d’accord.
Il précise que s’interroger sur la possibilité d’armer vraiment la police municipale la journée, est une question que pourrait poser Monsieur Pouvreau.
Il précise que pour la vidéo-verbalisation « on est dans une République ». Demande à Monsieur Pouvreau « d’être Républicain sur les réseaux sociaux et ici ».
Il demande à Monsieur Pouvreau « d’être responsable partout  y compris dans ses propos ».
Il fait savoir « qu’on ne peut pas faire tout et n’importe quoi » et « qu’il n’est pas un shérif ».
Il propose qu’ils puissent avoir ce débat pendant la présidentielle car « c’est savoir ce qui est du régalien et si le régalien finalement c’est vraiment un sujet de l’état » puis « c’est de savoir ce qui est du régalien et ce qui est de l’initiative municipale ».
Il fait savoir qu’il n’est pas pour « du cul entre deux chaises » comme ils le sont.
Il explique que « soit c’est le système américain avec un shérif qui a le pouvoir y compris celui de légiférer sur son territoire, soit c'est du régalien ».
Il pense que « la République française s’honore à ce que l’insécurité soit du régalien ».
Il rappelle que Monsieur Malherbe quand il interpelle le Maire, « partage une vraie question, c’est celui des moyens que l’Etat donne pour assurer la sécurité ».
Il dit à Monsieur Pouvreau : « Vous ne le faites même pas car vous êtes dans un harcèlement permanant, vous l’avez été pendant la campagne et quand vous prenez la parole vous le refaites sur ce sujet ».
Il précise les propos suivants à Monsieur Pouvreau : « Vous serez peut être candidat aux élections cantonales comme ça  on pourra vous ré -étendre et vous revoir ce qui est quand même agréable de savoir que vous êtes encore Libournais, mais le vrai sujet de la sécurité ce n’est pas un problème de police municipale ou de moyens, personne en Gironde ne fait mieux que nous, on peut l’acter. C’est un problème de moyens de la gendarmerie en ce qui nous concerne et de la police par ailleurs ».
Il remercie les deux intervenants d’avoir initié ce débat.
Il estime que « ce débat  est tout à fait légitime mais qu’il faut qu’il soit posé avec des élus qui travaillent leurs dossiers et qui sachent où ils sont, ici, autour d’une compétence municipale »
Il remercie Monsieur Pouvreau.